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300 000 bébés volés sous Franco : l'incroyable scandale

Les chiffres sont tellement énormes qu'on a du mal à y croire.
Et pourtant en Espagne, près de 300 000 bébés auraient été volés à leur mère avec la complicité d'institutions religieuses et de cliniques privées.
Enfants, parents adoptifs, mères spoliées, familles recomposées, un véritable système mafieux à l'échelle de l'Etat a été sciemment mis en place des années 40 jusqu'en 1987.
Enquête sur le système occulte des bébés volés.

300?000 bébés volés à leur mère pour alimenter un trafic d'enfants.
Ce scandale qui vient d'éclater en Espagne provoque un douloureux examen de conscience à travers tout le pays.
Des enfants, aujourd'hui trentenaires, partent à la recherche du secret caché de leurs origines...
Ce trafic d'enfants a commencé sous Franco, dans les années 1940.
Sa justification était alors politique : le régime retirait les nouveau-nés des familles républicaines «gauchistes» pour les faire adopter par des parents de la droite catholique. "Votre bébé est mort, désolé".
Une phrase laconique, et puis plus rien.
Voilà ce que toutes ces familles ont cru durant près de 50 ans.
Une fois la machine lancée, rien ne l'arrêtera.
La toute nouvelle démocratie espagnole, installée en 1975, va également laisser faire pour de basses raisons mercantiles jusqu'en 1987.

Aujourd'hui, tout remonte à la surface.
Combien de vies brisées par ces pratiques mafieuses d'un autre temps ?
Personne ne le sait réellement.
Des milliers de tests ADN sont en train d'être effectués en Espagne.
Objectif : renouer les liens entre les mères qui cherchent leurs bébés et les enfants qui veulent retrouver leurs parents.
Des parents et des enfants qui se retrouvent parfois à des milliers de kilomètres.
De nombreux Américains ou Sud-Américains apprennent un beau matin que leurs parents ne sont pas leurs parents biologiques.
Retrouver leur mère, leur père ou un membre de leur famille, en Espagne ou ailleurs, devient alors leur seul objectif, avec l'impression bien réelle qu'on leur a volé leur vie.