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Services secrets, la part d'ombre de la République

Dans les coulisses de la diplomatie officielle, les services secrets sont régulièrement mis à contribution pour appuyer l'action de l'État.
Collecte d'information, recrutement d'agent ou opérations de déstabilisation.
Au nom de l'intérêt supérieur de la nation, tous les coups seraient permis, ou presque, même en démocratie.
En France, c'est la DGSE (Direction Générale des Services Extérieurs) qui était chargée de ces missions.

A travers deux histoires récentes, enquête sur les jeux troubles de nos services de renseignement.
Dans les années 90, la DGSE aurait recruté en ex-Yougoslavie un chef de guerre nommé Hashim Taçi, qui aurait été financé et armé en coulisse par l'État français.
Aujourd'hui, l'homme est Premier ministre du Kosovo et notre meilleur agent d'influence dans la région.
Mais il a été rattrapé par son passé : le Parlement européen lui impute de nombreux crimes commis pendant la guerre.
En 1988, la militante sud-africaine Dulcie September (représentante à Paris de l'ANC, le parti anti-apartheid de Nelson Mandela) a été assassinée en plein Paris.
L'affaire n'a jamais été élucidée. Plusieurs mercenaires français d'extrême droite ont été mis en cause.
Ils sont soupçonnés d'avoir été appointés par les Sud-Africains.
Mais l'un d'eux aurait-il aussi travaillé pour les services français ?